Thursday, August 25, 2011

La crise expliquée aux nuls!

De tous temps, nos dirigeants, quelle qu'en soit la couleur politique, ont eu besoin de recaser des amis.

Soit ils ne servent plus les desseins du Chef en place, soit ils ont été sacrifiés sur l'autel de la politique, soit... plein d'autres trucs.

Pour ce faire, notre république a "fabriqué" des usines à gaz qui ne servent pratiquement à rien.

J'appellerais cela des "niches politiques" par référence aux "niches fiscales".


En voici quelques unes, tirées d'un article visible sur Capital.fr:

Le très confortable Conseil économique et social:
Ce Conseil ne sert à rien, il faudrait le supprimer», fulmine le député UMP Hervé Mariton. Que les 233 membres de l’assemblée consultative se rassurent : leur institution, rebaptisée en 2008 Conseil économique, social et environnemental (Cese), n’est pas près de disparaître. Non que nos gouvernants se passionnent pour les débats des représentants syndicaux, patronaux ou associatifs qui y somnolent.
Mais parce que le Cese est bien pratique pour distribuer les récompenses : l’Elysée peut y nommer 40 amis tous les cinq ans au titre de «personnalités qualifiées». les PQ, comme on les appelle au Palais d’Iéna, perçoivent une indemnité de 3 800 euros brut par mois.


Conseil supérieur de l’audiovisuel : 10.000 euros net par mois

Contrôle général économique et financier : 8.000 euros net par mois

Conseil d’Etat : 7.500 euros net par mois

Inspection générale des affaires sociales : 6.500 euros net par mois

Inspection générale de l’éducation nationale : 4.500 euros net par mois

Conseil économique et social : 3.800 euros brut par mois.


Ne pensez-vous pas, mes frères contribuables, que l'on pourrait faire le ménage la dedans en même temps que l'on nous annonce des jours sombres?


Comme l'a dit le génial Frédéric Dard, papa de San Antonio:

"Les bases de la comptabilité, c'est simple: y'a le passif et l'actif.
Les bases de l'homosexualité, c'est pareil".

Quel rapport avec la crise?

Ben, c'est à qui qu'on demande d'éponger le passif? et c'est qui qui se l'fait mettre?

S'cusez-moi d'avoir été un peu long!

Et toc!

Keskidi.






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